J’ai rencontré Alain, forgeron d’art de son état, il y a plus de 20 ans.
Je venais de déménager dans une ancienne usine textile à Roubaix.
Installé à mon bureau, j’ai senti une odeur de charbon qui brulait.
En me penchant par la fenêtre, il y avait dans la cour un vieux hangar mal isolé qui fumait de tous cotés.
C’était la forge d’Alain Lauras.